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  MUSE PARADOX
  > BRETT FUKUDA

1

ACTE

  MUSE PARADOX
  > BRETT FUKUDA

1

ACTE

Chorégraphie et scénographie :

Angelin Preljocaj

Musique :

Stéphane Roy, Antonio Vivaldi

Costumes :

Nathalie Sanson

Lumières :

Jacques Chatelet

Mise en répétition :

Claudia De Smet

Duo > 20 minutes

Avec cette Annonciation, Angelin Preljocaj exploite un autre pan de ce thème du « spectre », l’archange Gabriel faisant irruption dans la vie de Marie pour lui annoncer des transformations majeures – pour elle, pour son corps, et pour la société à venir.

« Quelle clé détient le concept de l’Annonciation ? Qu’est censé ouvrir en nous cet événement fondateur d’une religion ? Alors que de nombreux peintres depuis deux millénaires ne cessent d’interroger ce catapultage de symboles antinomiques qu’est l’Annonciation, il est étonnant de constater que ce thème à la problématique si proche du corps soit quasi-évacué de l’art chorégraphique (…). Cette genèse par glissements successifs nous ramène évidemment au mécanisme même de la création artistique, le message passant du virtuel au réel. Ce que l’on appelle aujourd’hui l’art conceptuel ne serait-il pas, plutôt qu’un art abouti, l’annonce d’un art nouveau, l’Annonciation d’un art à naître ? » Angelin Preljocaj

Créée en 2010 au Suzanne Dellal Center de Tel Aviv

pour Incidence Chorégraphique

direction 

artistique :

BRUNO 

BOUCHÉ

FRANCE

  BLESS - AINSI SOIT-IL> BRUNO BOUCHÉ

  BLESS - AINSI SOIT-IL> BRUNO BOUCHÉ

 .

Création le 21 octobre 2020 par

le Ballet de l’Opéra national du Rhin

Chorégraphie :

Bruno Bouché

Musique :

Jean-Sébastien Bach

(Transcription pour piano par Ferrucio Busoni)

Pianiste :

Maxime Georges

Costumes :

Thibaut Welchlin

Lumières :

Tom Klefstad

Duo. >15 minutes.

Alternant austérité et douceur, La Chaconne de la Partita n° 2 de Jean Sébastien Bach accompagne deux danseurs qui s’affrontent ou s’enlacent. Incarnation des forces charnelle et spirituelle, ce duo inspiré de la Lutte de Jacob avec l'Ange, oscille entre des mouvements bruts arrachés à la terre et la pureté de lignes d'une possible sublimation.

 

« C’est l’oeuvre de Delacroix peinte sur les murailles de l’église Saint-Sulpice qui me regarde plus que je ne la regarde ; ça me regarde au creux même de ma nuit. Faut-il voir dans cette lutte

une allégorie du combat de l’homme face aux forces qui le dépassent ? »

- Bruno Bouché à propos de l’oeuvre d’Eugène Delacroix


 

Créée en 2010 au Suzanne Dellal Center de Tel Aviv

pour Incidence Chorégraphique

Un écran ondulé traverse en diagonale la scène où attend un projecteur roulant. De la pénombre surgissent les silhouettes fantomatiques de onze danseurs dont les convulsions géométriques jouent avec la lumière au rythme lancinant de la musique de Thom Willems.

Chorégraphie : William Forsythe

Musique :         Thom Willems

Scénographie, lumières et costumes : William Forsy

Pièce pour 11 danseurs > 28 minutes

les_ailes_du_desir_web.jpg

soirée

A

SONGS FROM BEFORE > LUCINDA CHILD

BLESS-AINSI SOIT-IL> BRUNO BOUCHE

 ENEMYIN THE FIGURE> WILLIAM FORSYTHE

 

B

soirée

POUSSIÈRE DE TERRE > ALBA CASTILLO

BLESS-AINSI SOIT-IL> BRUNO BOUCHE

 ANNONCIATION > ANGELIN PRELJOCAJ

Création le 21 octobre 2020 par le Ballet de l’Opéra national du Rhin

Chorégraphie :

Bruno Bouché

Musique :

Jean-Sébastien Bach

(Transcription pour piano par Ferrucio Busoni)

Pianiste :

Maxime Georges

Costumes :

Thibaut Welchlin

Lumières :

Tom Klefstad

Duo. >15 minutes.

Alternant austérité et douceur, La Chaconne de la Partita n° 2 de Jean Sébastien Bach accompagne deux danseurs qui s’affrontent ou s’enlacent. Incarnation des forces charnelle et spirituelle, ce duo inspiré de la Lutte de Jacob avec l'Ange, oscille entre des mouvements bruts arrachés à la terre et la pureté de lignes d'une possible sublimation.

 

« C’est l’oeuvre de Delacroix peinte sur les murailles de l’église Saint-Sulpice qui me regarde plus que je ne la regarde ; ça me regarde au creux même de ma nuit. Faut-il voir dans cette lutte

une allégorie du combat de l’homme face aux forces qui le dépassent ? »

- Bruno Bouché à propos de l’oeuvre d’Eugène Delacroix