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représente la Compagnie Wayne McGregor en France

 

DANCE

DLB 

Le corps est une archive vivante . Wayne McGregor transforme son ADN en danse. Dans sa dernière création, il porte son attention vers le corps comme archive et décline un cycle de tableaux chorégraphiques inspirés par le séquençage de son propre génome. La première de ces études, Autobiography, est une méditation abstraite sur soi, la vie, l'écriture, réfractant à la fois les passés mémorisés et les futurs spéculatifs.Est-ce le fait de remonter le temps de se souvenir du jeune homme qu’il fut, le style de McGregor s’adoucit parfois et c’est sans doute cette légère suspension dans la furieuse mécanique qui fait la différence avec d’autres pièces. Son accélération exponentielle se calme ici pour s’allonger au sol, poser sa tête sur la poitrine d’un partenaire. Les duos nombreux, mais aussi les trios enquillent les portés qui décollent. Des réminiscences classiques s’échappent comme des prouesses qui ne disent pas leur nom. Plus suggestif que le superbe Tree of Codes, créé en 2015, qui vient de faire encore un tabac à l’Opéra Bastille, Autobiography accepte d’être émotionnel sans pour autant lâcher sur la virtuosité. Sauvage, vorace, sur l’électro mouvant de Jlin, son cri de vitalité étourdit et c’est bon.

– Rosita Boisseau, Le Monde, Avignon, le 23/07/2017 

Première le 4 octobre 2017 au Sadler’s Wells, Londres 2017

Première le 4 octobre 2017 au Sadler’s Wells, Londres 2017

Le corps est une archive vivante . Wayne McGregor transforme son ADN en danse. Dans sa dernière création, il porte son attention vers le corps comme archive et décline un cycle de tableaux chorégraphiques inspirés par le séquençage de son propre génome. La première de ces études, Autobiography, est une méditation abstraite sur soi, la vie, l'écriture, réfractant à la fois les passés mémorisés et les futurs spéculatifs.Est-ce le fait de remonter le temps de se souvenir du jeune homme qu’il fut, le style de McGregor s’adoucit parfois et c’est sans doute cette légère suspension dans la furieuse mécanique qui fait la différence avec d’autres pièces. Son accélération exponentielle se calme ici pour s’allonger au sol, poser sa tête sur la poitrine d’un partenaire. Les duos nombreux, mais aussi les trios enquillent les portés qui décollent. Des réminiscences classiques s’échappent comme des prouesses qui ne disent pas leur nom. Plus suggestif que le superbe Tree of Codes, créé en 2015, qui vient de faire encore un tabac à l’Opéra Bastille, Autobiography accepte d’être émotionnel sans pour autant lâcher sur la virtuosité. Sauvage, vorace, sur l’électro mouvant de Jlin, son cri de vitalité étourdit et c’est bon. – Rosita Boisseau, Le Monde, Avignon, le 23/07/2017 


Conception et Direction :

Wayne McGregor
Chorégraphie :

Wayne McGregor, en collaboration avec les danseurs
Musique originale :

Jlin
Musique additionnelle :

Hildur Gudnadottir,

Zelienople, Arcangelo Corelli, Max Richter,

and Carsten Nicolai and Ryuichi Sakamoto
Scénographie et Projection :

Ben Cullen Williams
Lumière :

Lucy Carter
Costume :

Aitor Throup
Dramaturgie :

Uzma Hameed

10 danseurs > 80 min sans entracte

Crédit photos AutoBiography > Andrej Uspenski


 



 

Royaume Uni

DIRECTION ARTISTIQUE :

wayne  m gregor

Wayne McGregor propose une danse visionnaire, frôlant le métaphysique, caressant l’anthropologie cognitive mais également une expérience sans équivalent, tranchante et radicale, où le spectateur est plongé dans un univers surnaturel. Le travail des danseurs de la compagnie requiert à la fois un intérêt intellectuel, cérébral, pour les sciences et l’expérimentation, mais également une forte capacité à transformer les émotions en mouvements.

programme 

NOVEMBRE

OCTOBRE

SEPTEMBRE

VOIR LES DATES

autobiography

agenda de tournée 23/24

Les dates seront

prochainement communiquées.

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